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Quand "quelque chose" doit changer... selon vous

Dernière mise à jour : 22 juil.


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Que se passe-t-il pour vous ?


Est-ce une situation ou un de vos comportements qui ne serait plus tenable pour vous-même ? Est-ce qu'il y a du "trop" ? (de jugement, de colère, d'anxiété, une tristesse persistante, de la lassitude, ...) ou du "pas assez" ? (de sens au travail, de vie sociale, de sentiment amoureux, de plaisir à créer...).

Se décider à aller voir “quelqu'un”, à se faire accompagner c'est déjà l'aboutissement d'un long processus pour certain.e.s.

Celui de reconnaître que “quelque chose” ne va pas. Vous avez envie que “ça” cesse, ou vous aimeriez que “ça” puisse se passer autrement.

Vous avez déjà fait tout ce que vous pouviez tout.e seul.e. Bien souvent, vous en avez une grande habitude. Vous gérez. Peut-être que vous avez déjà eu l'occasion d'avoir recours à de l'aide extérieure. Ça vous a bien aidé, c'est sûr.

Sauf qu'aujourd'hui peut-être arrivez-vous au bout de vos ressources habituelles. Vous en sentez les limites, les contraintes. Bien qu'elles vous aient soutenu jusqu'ici, vous percevez des entraves à vos désirs. Ou bien vous avez l'habitude de ce mode défensif qui s'enclenche dès qu'un projet nouveau, une relation nouvelle se profilent ou encore lorsque vous vous sentez vulnérable, ou excessivement sensible.


Et si l'inconfort, déstabilisant l'équilibre existant, venait révéler votre aspiration à un mieux-être ?


Une hypothèse pourrait être la suivante : quelque chose arrive peut-être à une fin. Et dans le même temps une aspiration à “autre chose” se faufile. Sans le connaître parfois, cet autre chose bouscule l'apparente stabilité émotionnelle, ou relationnelle.

Est-ce un désir de plus de confiance en soi ? de joie ? de créativité ? de liens ? de stabilité ? de valeur ? de nouveau projet ? nouveau métier ? nouveau rapport au couple ? nouveau rapport à soi ? A vous de le définir, c'est vous qui le savez.

Alors oui, cette aspiration donne l'élan pour demander du soutien, un accompagnement. Et c'est déjà un aboutissement que de reconnaître cette aspiration, de la laisser croître suffisamment pour se projeter dans l'inconnu. Car vous le souhaitez “quelque chose” (une habitude, un jugement sur vous-même, une manière d'aborder les relations…) devrait cesser.

Certain.e.s choisiront la voie de la psychothérapie. Il y en a d'autres bien évidemment : le sport, une activité créative, la spiritualité, le bénévolat, etc...


Quelques clés facilitant un changement en psychothérapie


1) Ce sera le travail de collaboration en psychothérapie qui sera un ingrédient important. Se sentir en confiance et en sécurité avec le thérapeute est incontournable. Prendre le temps d'échanger avec différents thérapeutes vous permettra de vous faire un première idée.

2) Selon mon approche, le processus entrepris visera à informer votre inconscient que les anciens modes de fonctionnement sont obsolètes notamment par l'hypnose ericksonienne.

3) Cependant, il ne les laissera de côté, véritablement, que lorsque de nouveaux chemins conscients auront été créés, arpentés, expérimentés, testés, validés par vous-même dans un environnement stable, fiable et sécurisant.

4) Ces chemins empruntés vous seront personnels. Ils vous délivreront des clés de l'autonomie pour entrer en contact avec vos émotions, exprimer vos besoins personnels, vos désirs de projets, de relation et nourrir des liens authentiques avec vos proches.


Si vous êtes partant.e, bienvenu.e en thérapie.



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